Le Printemps a bien du mal à s'installer, les hirondelles ne sont toujours pas arrivées, mais l'herbe et les mauvaises herbes s'en donnent à coeur joie !
Entre deux averses, je me suis promenée dans mon jardin, en regardant les fruitiers qui commencent à fleurir, je me suis souvenue du titre de cette chanson (pourquoi ? Maman a dû la fredonner lorsque j'étais jeune)
Mais je ne connaissais absolument pas les paroles, j'ai donc fouiné un peu, en les découvrant, j'ai eu envie de vous en faire lire quelques lignes qui sont d'une telle fraîcheur et contrastent tellement avec ce que l'on peut entendre aujourd'hui.
Je n'ai pas trouvé la version d'André Claveau,
celle-ci devrait tout de même vous permettre
de faire une agréable balade en musique...
Cerisiers roses et pommiers blancs
J'ai cru mourir d'amour pour elle
En l'embrassant.
Avec ses airs de demoiselle,
Cerisiers roses et pommiers blancs
Elle avait attiré vers elle
Mon cœur d'enfant.
De son jardin caressait
La branche d'un vieux pommier
Qui dans le mien fleurissait.
De voir leurs fleurs enlacées
Comme un bouquet de printemps
Nous vint alors la pensée
D'en faire autant...
De toute évidence, le parolier devait habiter la ville, car chez moi, à la campagne, comme vous pouvez le constater, les cerisiers fleurissent blancs
non !
voici le moyen mnémotechnique que j'ai jadis utilisé...
Si vous avez mieux, n'hésitez pas à m'en faire part ;-)