25 janvier 2008
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Dans mon article papillon, ce billet doux, j'ai écrit "en voletant de-ci, de-là"
et à partir de cet instant, quelques notes sont venues trotter dans ma tête et ce sont bien les termes appropriés.
Je sais, elles ont trotté un long moment, mais la période des fêtes est arrivée et vous connaissez la suite, un article et puis un autre et le temps passe, les idées se baladent, partent en voyage, font des fugues, envie d'évasion, mais... je pense à vous et,
je suis sure que vous avez déjà écouté ceci....
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Cahin-caha, Va chemine, Va trottine, Va petit âne Va de-ci, de-là, Cahin-caha, Le picotin te récompensera. |
Je me souvenais avoir entendu ces paroles dans une opérette.
Camille Saint-Saëns proclamait que
"l'opérette est une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément."
jolie boutade !
"l'opérette est une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément."
jolie boutade !
J'aimais l'opérette, oui je sais, cela paraît un peu désuet, mais pour moi, ces soirées rimaient avec gaieté, légèreté, frivolité, futilité, elles étaient pleines de vie, d’espoir, elles me permettaient de m'évader, j'étais adolescente, pas facile de trouver sa place, plus dans le monde de l'enfance et pas encore dans celui des adultes.
Je m'inventais des rêves, pour ce qui est des rêves, je n'ai guère changé !
Le nom de cette opérette, je l'avais oublié, alors j'ai cherché, vous vous souvenez, je suis aussi Fouinou ;-)
Dire que certains pensent qu'internet ne sert à rien, oui, oui, je vous assure, on me l'a déjà dit !
Dire que certains pensent qu'internet ne sert à rien, oui, oui, je vous assure, on me l'a déjà dit !
"Véronique"
est une opérette de 1898 en trois actes d'Albert Vanloo et Georges Duval sur une musique d'André Messager (1853-1929)
le refrain "De-ci De-là" est extrait de la chanson "duetto de l'âne".
Et qui n’a jamais fredonné le fameux “poussez, poussez l’escarpolette”.
Et qui n’a jamais fredonné le fameux “poussez, poussez l’escarpolette”.
Cette opérette est dit-on
“un vrai chef d’œuvre de fraîcheur musicale,
légère comme un champagne de grande classe”.
“un vrai chef d’œuvre de fraîcheur musicale,
légère comme un champagne de grande classe”.
Un petit résumé piqué sur Wiki car j'avoue ne plus me rappeler vraiment de l'histoire.
L'action se passe à Paris et à Romainville en 1840.
Le fleuriste Coquenard aspire à être nommé capitaine de la Garde Nationale.
Son épouse Agathe est la maîtresse du vicomte Florestan de Valaincourt, qui est fiancé à la jeune Hélène. Le vicomte, comptant sur son mariage pour se remettre à flot financièrement, rompt avec sa maîtresse, mais Hélène, cachée, surprend la scène et décide de donner une leçon au vicomte. Elle se déguise en Véronique, une grisette, elle se fait embaucher par Coquenard et rencontre Florestan sous cette fausse identité…
Rien de bien nouveau,
le schéma classique du quiproquo provoqué par des situations amoureuses et pécuniaires complexes et multiples,
mais qui fonctionne toujours !
le schéma classique du quiproquo provoqué par des situations amoureuses et pécuniaires complexes et multiples,
mais qui fonctionne toujours !